Mise en garde sur les stratégies de vente de vacances à temps partagé
Québec, le 9 décembre 2013 –
Des consommateurs signent des contrats de vacances à temps partagé, déboursent des sommes importantes et le regrettent ensuite. L’Office de la protection du consommateur souhaite donc mettre en garde les consommateurs contre les pratiques de certains commerçants dans ce secteur et rappeler que la Loi sur la protection du consommateur n’accorde aucun délai pour mettre fin à un tel contrat.
Les vacances à temps partagé, qu’est-ce que c’est?
De façon générale, en signant un contrat de vacances à temps partagé, un consommateur s’engage à payer pour des vacances, année après année, jusqu’à l’expiration de son contrat. L’expression « time sharing » est souvent utilisée pour désigner ce type de vacances.
L’une des formules de vacances à temps partagé qui a actuellement cours engage le consommateur à acheter des points. Ces points sont échangeables contre, par exemple, des séjours, des croisières ou l’utilisation d’un « condominium » dans divers lieux de vacances et de villégiature.
Au coût des points s’ajoutent bien souvent d’autres frais, comme les frais d’entretien des unités d’hébergement appartenant au promoteur de vacances à temps partagé. Ils atteignent souvent quelques centaines de dollars annuellement et doivent être payés même si le consommateur ne voyage pas.
Le modus operandi des vendeurs
Souvent, le consommateur remplit un coupon pour participer au tirage d’un voyage ou laisse ses coordonnées lors d’un événement : un salon, une exposition, etc. Des semaines plus tard, il reçoit un carton d’invitation ou un coup de fil : il a été sélectionné pour un tirage ou, mieux, il a gagné un prix. Pour être admissible à ce tirage ou pour récupérer ce prix, il devra se présenter à l’endroit désigné par le commerçant. Certains inviteront le consommateur à passer une fin de semaine dans un site enchanteur, dans un hôtel ou dans une auberge.
Mise en garde sur les stratégies de vente de vacances à temps partagé
Québec, le 9 décembre 2013 –
Des consommateurs signent des contrats de vacances à temps partagé, déboursent des sommes importantes et le regrettent ensuite. L’Office de la protection du consommateur souhaite donc mettre en garde les consommateurs contre les pratiques de certains commerçants dans ce secteur et rappeler que la Loi sur la protection du consommateur n’accorde aucun délai pour mettre fin à un tel contrat.
Les vacances à temps partagé, qu’est-ce que c’est?
De façon générale, en signant un contrat de vacances à temps partagé, un consommateur s’engage à payer pour des vacances, année après année, jusqu’à l’expiration de son contrat. L’expression « time sharing » est souvent utilisée pour désigner ce type de vacances.
L’une des formules de vacances à temps partagé qui a actuellement cours engage le consommateur à acheter des points. Ces points sont échangeables contre, par exemple, des séjours, des croisières ou l’utilisation d’un « condominium » dans divers lieux de vacances et de villégiature.
Au coût des points s’ajoutent bien souvent d’autres frais, comme les frais d’entretien des unités d’hébergement appartenant au promoteur de vacances à temps partagé. Ils atteignent souvent quelques centaines de dollars annuellement et doivent être payés même si le consommateur ne voyage pas.
Le modus operandi des vendeurs
Souvent, le consommateur remplit un coupon pour participer au tirage d’un voyage ou laisse ses coordonnées lors d’un événement : un salon, une exposition, etc. Des semaines plus tard, il reçoit un carton d’invitation ou un coup de fil : il a été sélectionné pour un tirage ou, mieux, il a gagné un prix. Pour être admissible à ce tirage ou pour récupérer ce prix, il devra se présenter à l’endroit désigné par le commerçant. Certains inviteront le consommateur à passer une fin de semaine dans un site enchanteur, dans un hôtel ou dans une auberge.
Caller type: Scammer
Caller: Maya
Company: fraudeur
Number: 450-781-4696